Non, une seule 
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Quel bol, mais bol de cocu… C’est pas possible…
Le Jet hier à eu un peu moins de chance avec un rouleau de vent au mauvais moment : Jet Hawk RC - YouTube
En tout cas elle est sympa votre piste en herbe! 
Certes, mais il faut une grosse tondeuse et les gars pour le faire.
Malgré une météo assez venteuse plein travers, les pouces me démangeaient.
Je me suis retrouvé avec la piste tout à moi, car si le vent n’était pas assez fort pour faire reculer un ex Adalien, possible qu’il ait entamé la motivation des collègues.
J’ai commencé par le premier vol du T1800 gagné à l’ADAL, la fameuse Tombola gratuite. 2 mn50 de moteur au compteur de ma fidèle Taranis pour plus de 14 minutes de vol. L’engin plane bien à condition d’oublier les ailerons assez peu efficients et de se concentrer sur l’utilisation de la dérive, diablement efficace elle.
Puis le fidèle Sbach a bien voltigé, surtout que j’ai changé les manches de ma Taranis, et que j’ai retrouvé pas mal de réactivité. Les anciens manches se bloquaient un peu et étaient flous au neutre. On le pardonnera à la radio, en l’ouvrant, j’ai vu l’étiquette de conformité qui m’a rappelé que j’avais cette radio depuis bientôt 10 ans.
Je dois confesser que je me suis dégonflé à faire le premier vol du Bugatti, sans roulette arrière, vent de travers, je ne l’ai pas senti.
C’est la seconde fois que cet avion voit le terrain, la première fois, une pluie d’enfer dès que je l’ai sorti, cette fois-ci des nuages noirs qui menaçaient et le vend de travers. La troisième sera la bonne j’espère.
Ceci dit, il faisait 23°, contrairement aux 17° pluvieux d’hier, et c’était bien agréable.
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Il sort d’où ce Bugatti ?
C’est moi qui l’ai fait
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J’y crois pas 
Denis tu vas me faire le plaisir de changer ce cône noir par un de couleur « bleu de France ».
Tu as çà chez Intermodel de marque Dubro. Le mien est en diamètre 57mm et s’accorde parfaitement avec l’Oracover « bleu de France »
Celui-là ?
Comme pince d’hélice ? qu’à tu mis ? la mienne fait un trop gros espace entre le cône et le fuselage.
J’ai rapporté une pièce balsa ronde taillée dans du 5 ou du 10mm sur le couple moteur afin de combler le « gros espace » puis je l’ai poncée de façon conique dans la continuité du fuselage afin de retrouver les 57mm du cône bipale tout çà avant entoilage.
Ok, sur le mien, l’entoilage était déjà fait, et l’écart était énorme avec le cône (13 mm) J’ai donc fait une pièce en impression 3D que j’ai imprimée en rouge, mais je pense que je la re-ferai en bleu.
Je vais attendre de commander le cône, pour reprendre les mesures et agrandir un poil l’écope qui se positionne dessous afin de récupérer un peu d’air. Alain le constructeur a prévu des trous dans la cloison pare-feu en regard de ceux du moteur. Je pense qu’une petite surpression d’air frais ne peux pas nuire.
Pour répondre à Vincent, il m’a été vendu par mon ami Alain qui préfère construire que voler. Sur la photo à la fin de la vidéo, on voit bien l’espace entre fuselage et cône.
Il est très beau…une fois ce PB d’écart résolu.
Tu nous montreras quand c’est toi qui pilote.
… 
J’avais également fait des trous dans la cloison pare-feu en regard de ceux du moteur pour le refroidissement.
Peux-tu me commander un cône « bleu de France » Dubro en 57mm car comme tu l’as vu en fin d’atterrissage, le Bugatti a tendance à passer sur le nez, ce qui m’était arrivé quand j’ai fait le 1er vol au Mach34
Je peux t’en commander un, mais je ne vais pas passer de suite à Lunel. De mon côté, je vais faire l’essai après que la piste est tondue à raz aussi, au vu de sa tendance à passer sur le nez.
Den
Bon, ben super aprem aujourd’hui, j’arrive à Prat vers 16h30, vent faible, nuageux, pas trop chaud, un temps idéal.
Je sors le Bugatti, accus, test des gouvernes, l’herbe de la piste vient d’être tondue, j’accélère et pof, il passe sur le nez.
Je recommence, plein gaz, plein cabré, il s’élance et hop en vol. Il faudra trimer un max à pousser, je le soupçonne un peu trop centré arrière, mais il vole et plutôt pas mal le bougre. Le vol dos ne demande pas à pousser, ce qui confirme le centrage un peu arrière, ce qui ne va pas arranger le problème du passage sur le pif. Sinon, en vol l’avion à une gueule d’enfer, j’adore, il accepte de ralentir et ne décroche mollement qu’après l’avoir vraiment bien ralenti. Plein Gaz, il file en silence comme une flèche, réellement j’ai adoré. À l’attero, j’arrive à l’amener assez bien, il est facile et pose relativement court, mais il finit sur le nez aussi. Je pense que sur une piste en dur, il ne serait pas passé sur le nez.Je vais voir comment améliorer son centrage et avancer un peu le train, mais j’adore et il fait de l’effet.
Ensuite vol avec le Sbach, qui perdra sa verrière dans les blés, mais je la retrouverai avec l’aide des membres de Prat.
Sinon, la seconde révélation sur jour sera le planeur T1800 gagné à l’ADAL; Une fois bien réglé, il s’avère etre un chasseur de pompe de première. 1mn 27 de moteur pour 29 minutes de vol, que j’ai arrêté, car j’avais mal au coup. Je suis monté le plus haut, bien plus haut que le 3 mètre du collègue dont le vario indiquait 300 m. et d’un autre planeur de 2.80m, un easy glider qui était là aussi était largué malgré son moteur. J’ai bien rigolé à un moment quand le président de Prat, c’est écrié dans un éclat de rire « mais c’est quoi ce bordel, c’est un avionneux avec sa mousse qui nous indique les pompes »
Le tout s’est fini à la nuit avec un petit apéro, c’était vraiment bien.
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Quel beau récit