Le confinement aide a faire du tri à la maison, et je viens de tomber oar hasard sur la seule carte de membre de l’ADAL que nous avions édité lors de la reprise du bureau par Denis et moi en 2005/2006 !
On faisait ça bien à l’epoque !!!
Je continue avec une série de photos perso de mes débuts…
Voici mon tout premier modèle RC quand j’ai débuté en 2003 avec un peu d’aide de mon ami Olivier:
Il s’agit d’un planeur 2 axes, 1m80, tout en depron et scotch de déménageur !! On le lançait du haut d’une coline et le but était de tenir le plus longtemps possible en l’air, c’est a dire entre 10 et 20 secondes…
C’est donc grace a ce planeur que j’ai donc investi dans une radio 4 voies, un Rx, un accu de Rx, 2 servos, pour environ 500€…
Mon 2ème modèle fût motorisé. Toujours de conception et construction perso en depron. Son c’est le « Lactel » en raison des roues faites avec des bouchons de bouteilles de lait
Le moteur est à charbon, de format 150 réducté. L’avion devait faire 80cm d’envergure de memoire…
Le plus fort c’est qu’il volait terriblement bien !! Quel plaisir j’ai eu d’arriver a faire mes 1ers vols avec
Mon 3ème modèle c’est une construction tout balsa entoilé. C’est un Fokker DVII, modèle imaginaire issu d’un plan de la genialissime revue Looping. Il était vrillé, entoilé au fer à repasser de maman, il a volé environ 10m, mais qu’est ce qu’il était beauuuuuu !!! Il a longtemps décoré mon atelier avant de le donner à je ne sais plus qui…
Il arrive un peu tôt, mais ça tombe bien car je bmne retrouvais pas ces photos
Donc le 4eme et le 5ème ce sont 2 mousses de chez GWS: le E-Starter et le P51
C’est après ces 2 là que je me suis mis au thermique avec le SuperStar que l’on voit aplati sur les photos précédentes
Stylées les roues du EStarter!
Elles existent toujours, GWS à été très productif à un moment donné : https://www.flashrc.com/gws/1307-paire_roues_ultra_light_gws_ø76mm.html
C’est le top pour l’indoor n’empêche
Waouuuh !!
quelques année plus tard
épreuve des50km
C’est parti décolage de NIZAS
virage sur NEBIAN
Atterrissage au Pic St Loup
Çà nous rajeunie pas
Ah lala… Ça avait l’air chouette les années 30 !!!
Je ne savais pas que tu avais piloté des grandeurs. C’est chouette!
Merci Yvon, postons alors nos archives à chacun :
Voici une photo spectaculaire, un fokker, je crois, fabriqué par Jean Paul que j’ai eu l’honneur de faire décoller. Une particularité de la machine, le roulis était obtenu par vrillage des ailes à l’aide d’un gros servo treuil, mais bon, ya eu comme un dysfonctionnement, vous noterez que sur la deuxième photo prise sur l’instant, la perte d’un élément important en vol qui doit vous donner une idée sur l’état final de la machine.
Le Basic 200 en vol de notre président, tiré d’un kit à construire, un vrai fagot de bois. Je vous assure que Vincent, pourtant jeune modéliste m’avait épaté avec cette construction.
Une photo que j’adore, notre Hugo préféré qui essaye de changer une bougie sur feu mon Ready de chez Arc.
Deux photos d’une sortie pente, un indice doit vous mettre la puce à l’oreille, ça ne date pas d’hier
Et pour finir un accident pas banal, mon twin star qui avait chopé en vol des ballons qui se sont révélés être les ballons de l’anniversaire d’une jeune demoiselle qui doit aujourd’hui être majeure, si l’on en juge à quelques indices sur les photos :
Excellent cette histoire des ballons, je me rappelle on était que tous les 2 en fin de journée de vol. Ça avait été une belle lutte pour aller les déquiller haut dans le ciel !
Oui, mon pauvre Twin-Star avec ses deux moteurs à charbons speed 400 équipé de micro hélices 6x3 ghunter, et sa batterie NIMH 9.6 volt 2000 mah pour 600 gr n’arrivait pas à monter assez haut.
Mais équipé de ma première LiPo (Normalement dévolue à mon Viper) une 2200 3S en 7C, l’engin est parti gaillardement à l’attaque des ballons, dans un bruit de moustic énervé. Bien sur une hélice s’est emmêlée dans la cordelette des ballons et le pauvre Twin-Star est retombé dans une vrille lente pour atterrir avec juste quelques griffures dans les ronces.!
A noter que nous avons renvoyés sa lettre à la demoiselle et lui avons proposés une après-midi de modélisme avec double commande.
Le jour venu, il faisait tellement mauvais que nous n’avons pu le faire et depuis nous l’atendons toujours
Le viper :