Voilà un vrai programme VAV de printemps. Avec un vrai remorqueur !!! Paul ? Yvon ??? C’est en promo chez Flash avec 1000 balles de réduc !!!
Pour le PIL, peut-être pas facile de trouver le moteur… 150cc à 210cc ou turboprop de 15kg…
Qui vend ça? Et à quel prix?
Sinon, quelle superbe machine!
Elle me rappelle de super bons souvenirs quand je larguais les paras à Pujaut il y a un peu plus de 20 ans… Et oui, ça ne me rajeunit pas 
Robert pour les turboprop rc les marques les plus connues sont; King tech et Jetcat
Mais là il faut avoir une carte bleu qui supporte le choc
Voici 2 vidéos concernant les explications de fonctionnement ainsi que le démarrage d’un turbopropulseur Kingtech modèle 45TP
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Super interressant, mais il touche pas à la manette des gaz ?!?
Salut Yvon et merci pour ces deux vidéos.
Le démarrage est très impressionnant! On dirait presque une « vraie ».
Pour répondre à Vincent, non, il ne touche pas la manette des gaz; comme sur les « vraies » (je veux dire sur les turbines à l’échelle 1:1) la procédure de démarrage est souvent entièrement automatisée; on ne touche les gaz qu’après que la séquence de mise en route est entièrement achevée; Il faut d’ailleurs savoir que la marge est très, très faible… Sur une P&W A20 par exemple (à l’époque ancienne à laquelle je fais allusion et pour autant que je me rappelle) à 70% de la puissance t’as plus rien et à 100%, selon la température extérieure t’as tout, mais tu risques de griller la turbine (aubes qui touchent la tuyère); c’est assez pointu…
Ceci dit, c’est assez impressionnant qu’ils aient réussi à miniaturiser à ce point une telle usine à gaz (c’est le cas de le dire!). Je comprends que, vu les quantités vendues, le coût R & D pèse lourdement sur le prix de chaque unité produite…
Effectivement, j’ai vu les prix des Kingtech et des Jetcat en catégorie 15 kg; ça pique légèrement les yeux…
Malgré l’importante remise sur le prix de la cellule, ça fait cher du crash quand il se produit. Tu me diras, quand on en arrive à se lancer dans un projet comme celui-là, c’est qu’on est assez sûr de son pilotage pour ne plus craindre ce genre de mésaventure (quoique… la statistique dit: « dès lors qu’un évènement malheureux à une chance -si infime soit-elle- de se produire, il finit toujours par se produire à la longue »…).